Ce double objectif pédagogiques permet de gérer cette unité d'enseignement malgré la très grandes diversité des étudiants concernés, depuis ceux qui ont suivi une formation antérieure en Informatique C2i niveau 1 à ceux qui ont pour seul background une utilisation autodidacte et peu professionnelle de l'ordinateur et ses outils.
Ce cours adresse donc en particulier les compétences:
et la manipulation d'outils de programmation pour le calcul numérique (Scilab).
Veuillez répondre à ce questionnaire en ligne : Sondage sur le profil et le background des étudiants BAT3
Le document suivant présente en détail la procédure à suivre pour configurer correctement votre portable sous GNU/Linux et Windows pour avoir accès à tous les services nécessaires. Vous devez suivre scrupuleusement les instructions.
Introduction à Scilab (offre freeware concurrentielle de Matlab de MathWorks)
Tutorial d'installation et initiation à Scilab
Pour toutes les fonctions présentées en cours et qui n'auront pas été manipulées en TD … Voir les transparents des cours précédent.
Exercices Divers de dernière séance de Scilab
La séance 7 ayant été annulée, les étudiants n'ayant pu y assister doivent travailler le TD par eux-mêmes.
A partir de la Séance 9, les séances seront différentiées en fonction du background des étudiants. Le sondage Résultat du sondage BAT3 2013, permet de distinguer 2 grands groupes :
TD 8 Gestion avancée des fichiers sous Windows
Partager votre ordinateur sous Windows 7 avec un autre ordinateur sous Windows 7
Attribuer les droits sur un fichier/dossier système sous Windows 8
Site de téléchargement de Audacity
Support de TD : TD 10 Audio
Autres fichiers pour le TD : et
Les étudiants n'ayant pas besoin de suivre le parcours C2i à partir de la séance 8, suivront les sujets de TDs qui leur seront fournis au fur et à mesure sur Scilab Avancé.
Ces sujets de TDs seront distribués dans les séances ci-dessous.
Continuer le sujet sur la programmation en Scilab
Les étudiants approfondissant leurs connaissances en Scilab utiliseront les librairies de traitements d'image pour étudier les analyses thermographiques des bâtiments et zones urbaines.
La thermographie est une technique peu connue des particuliers. Mais depuis quelques années, nous proposons à nos clients de réaliser leur propre diagnostic thermographique.
En 2004, Dunkerque a initié un programme afin de photographier par avion ses déperditions thermiques. En 2006, c’est la municipalité de Marseille qui s’est lancée dans l’aventure afin de faire savoir aux habitants si leur logement avait besoin de travaux d'isolation susceptibles de générer des économies d'énergie.
Si la thermographie aérienne a suscité la curiosité, la thermographie est encore peu médiatisée mais permet de réaliser une cartographie précise de vos déperditions d'énergie
La métropole NCA (Nice Côte d'Azur) a mis les résultats de sa cartographie thermique sur le Web.
«Définir une cartographie de températures à l’aide de caméras thermiques».
Attention, les températures reçues par la caméra sont des températures apparentes car la caméra reçoit des rayonnements. Une notion qu’il faut distinguer des températures vraies, c’est-à-dire celles qui jouent sur le chaud et le froid. D’ailleurs, plus simplement, on parle de thermographie comme d’une cartographie de déperditions thermiques.
Analyse thermographique NCA Serveur Web des cartes thermographiques NCA
L'appareil mesure la thermographie est une caméra thermique, un appareil photo numérique spécial. Celui-ci est sensible au rayonnement thermique des objets froids. La caméra fournit alors une image thermique avec une échelle de correspondance en température, c'est le thermogramme.
L'image est une représentation spatiale de l'énergie des rayonnements en provenance de la scène observée. L’échelle de valeurs entre un minimum et un maximum d’énergie s’étend sur toute l’image. Le minimum est représenté par le noir et le maximum par le blanc mais pour faciliter l’approche, une palette de couleurs a été déployée. A noter que la plupart du temps, les températures élevées d'un thermogramme correspondent aux couleurs claires ou «chaudes» et inversement pour les températures basses, elles sont illustrées par des couleurs sombres ou «froides».
La thermographie s’effectue «à certaines périodes de la journée, plutôt en fin de journée, à des périodes non ensoleillées ou en deuxième partie de nuit mais jamais au lever du jour (…) et bien sûr, on ne travaille pas en été»
A noter aussi que la thermographie ne fait pas de bilan thermique, il faut la complémenter par l'infiltrométrie (imposée par la RT2012) pour assurer le contrôle de la performance énergétique, à réception de la construction, en rénovation et en neuf.
A partir des cartes thermographiques du serveur NCA, et de traitements d'images effectués avec Scilab, calculez le nombre de bâtiments par niveau de performance énergétique. En déduire les pourcentages des performances de la zone de la carte par couleur. Vous trouverez ces cartes sur Serveur Web des cartes thermographiques NCA.
A partir des images thermographiques d'un bâtiment, et de traitements d'images effectués avec Scilab, analysez les pourcentage de perte énergétique d'un bâtiment. Vous trouverez des images sur le Web pour cela telles Caméras thermiques pour la thermographie des bâtiments
A partir des résultats précédents obtenus pour un bâtiment, calculez la couleur qu'il devrait avoir sur une carte thermographique.
Institué en 2002, un Certificat Informatique et Internet (C2i) est une certification nationale portant sur les compétences numériques nécessaires aux étudiants pour leur formation et pour leur insertion professionnelle.
Le C2i niveau 1 (C2i1) atteste la maîtrise des compétences d’usage des technologies numériques permettant à l’étudiant d’être acteur de ses apprentissages en formation initiale à l’université et tout au long de la vie dans une perspective de responsabilité, d’autonomie et d’insertion professionnelle.
Pour information, il existe un C2i niveau 2 (C2i2) qui atteste la maîtrise de compétences d’usage des technologies numériques nécessaires à l’exercice d’un métier et la capacité à les faire évoluer tout au long de la vie professionnelle. Il se décline en spécialités correspondant à de grands secteurs professionnels. Il existe actuellement cinq spécialités : « enseignant » (C2i2e), « métiers du droit » (C2i2md), « métiers de la santé » (C2i2ms), « métiers de l’ingénieur » (C2i2mi) et « métiers de l’environnement et de l’aménagement durables »
Le document d’accompagnement du C2i niveau 1 publié en septembre 2011 en donne une description détaillée qui décline chaque compétence en termes d’aptitudes et de savoirs, après avoir précisé pour chacune le contexte général de mobilisation.
Le référentiel national du C2i® niveau 1 comprend 20 compétences réparties dans 5 domaines.
Tout au long de sa vie, l’usager travaille dans un environnement numérique. La virtualisation des ressources, les risques inhérents au numérique et les enjeux de l’interopérabilité rendent cet environnement complexe. Cela signifie qu’il doit adapter son comportement aux spécificités des environnements multiples auxquels il est confronté en tenant compte des impératifs d’échange et de pérennité, ainsi que des risques associés à sa situation.
L’usager évolue dans un environnement numérique toujours plus prégnant, plus imprévisible, qu’il met à profit pour exposer non seulement des éléments de sa vie privée, mais aussi des éléments publics en lien avec son projet professionnel. Dans ce contexte, le droit positif (ensemble des règles juridiques en vigueur) et des principes éthiques régulent l’échange d’informations et l’appropriation de ressources numériques. Cela signifie notamment que l’usager préserve son identité numérique, prend en compte les règles et les risques liés au partage d’informations et adopte une attitude responsable. Pour cela, il connaît les réglementations et les règles de bon usage du numérique afin d’éviter les infractions ou les maladresses, et de faire valoir ses droits.
L’usager est amené à produire, traiter, exploiter et diffuser des documents numériques qui combinent des données de natures différentes, avec un objectif de productivité, de « réutilisabilité » et d’accessibilité. Cela signifie qu’il doit concevoir ses documents en ayant recours à l’automatisation et les adapter en fonction de leur finalité. Les compétences qu’il mobilise peuvent s’exercer en local ou en ligne. Il les met en œuvre en utilisant des logiciels de production de documents d’usage courant (texte, diaporama, classeur, document en ligne).
Compétence D3.5 Préparer ou adapter un document pour le diffuser
Dans le monde numérique, l’usager est confronté à une masse d’informations pléthoriques et peu vérifiées, étant produites et diffusées par tous. Les informations accessibles ne sont pas toujours stables dans le temps, certaines se présentant même comme des flux d’information diffusée en continu. Dans ce contexte, l’usager met en place une démarche de recherche adaptée et évalue avec discernement la qualité des informations qu’il trouve. Il exploite les informations et ressources pour documenter ses propres productions en les référençant conformément aux usages et compte tenu de leur potentielle instabilité. Il met en place une veille au moyen d’outils d’agrégation de flux, et organise ses références de façon à pouvoir y accéder en situation nomade.
Lorsqu’on mène un projet ou une activité dans un cadre personnel ou professionnel, les échanges entre les acteurs se déroulent souvent sous forme numérique. Utiliser à bon escient les outils de communication et de travail collaboratif permet d’améliorer l’efficacité du travail mené à plusieurs. Dans ce contexte, l’usager utilise avec discernement et efficacité les outils de communication numériques individuels ou de groupe pour échanger de l’information et travailler à plusieurs. Dans le cadre d’une collaboration à distance, il contribue à la production synchrone ou asynchrone de documents communs en gardant la trace des modifications et des versions successives de ces documents.
Le niveau des étudiants étant disparate, voici les résultats du sondage dur leur avancement en fin de séance. Notons qu'aucun d'entre eux n'a commencé par le TD d'initiation à Scilab, mais que tous ont travaillé sur le TD3 et donc les fonctions.
NOM | Prénom | Numéro du TD | Avancée dans le TD |
---|---|---|---|
ABELLANEDA | Paul | TD3 | 2.2 |
AMIEL | Martin | TD3 | 2.2 |
BELMOUFID | Anas Sadik | ABS | |
BRISTOL | Gladys | TD3 | 2.1 |
CABANE | Emerson | TD3 | 1.2 |
CHATTI | Yasmine | TD3 | 1.2 |
CLEYET MERLE | Solène | TD3 | 1.2 |
DEBAECKER | Cindy | TD3 | 1.2 |
DEGOUT | Lucas | TD3 | 1.2 |
DELSUC | Julia | TD3 | 1.2 |
GERBER | Fanny | TD3 | 1.2 |
GIOAN | Estelle | TD3 | 2.2 |
HENRY | Tiphaine | TD3 | 1.2 |
JABRI | Taha | TD3 | 1.2 |
JAUME | Sylvain | TD3 | 2.2 |
LAHOUSSE | Rémi | TD3 | 1.2 |
MADI | Amine | TD3 | 1.2 |
MBA AKIEGMANE | Frédéric | TD3 | 2.1 |
OUZZINE | Samy | TD3 | 1.2 |
ROQUES | Jérémy | TD3 | 2.2 |
SOLTYSIAK | Amélie | TD3 | 1.2 |
SOULE | Madjid | TD3 | 1.2 |
THOREZ | Louis | TD3 | 2.1 |
TIMSAHI | Achraf | TD3 | 1.2 |
TOUMLI SBAI | Ayoub | TD3 | 1.2 |
VIARD | Bertrand | TD3 | 1.2 |
WAHBI | Yacine | TD3 | 2.1 |
WILCZYNSKI | Kevin | TD3 | 1.2 |
NOM | Prénom | Niveau C2i (cert./ A/B/C) | Suivi C2i O/N |
---|---|---|---|
ABELLANEDA | Paul | cer. | N |
AMIEL | Martin | cer. | N |
BELMOUFID | Anas Sadik | Abs | |
BRISTOL | Gladys | Abs | |
CABANE | Emerson | A | N |
CHATTI | Yasmine | B | O |
CLEYET MERLE | Solène | Cer. | N |
DEBAECKER | Cindy | B | O |
DEGOUT | Lucas | A | N |
DELSUC | Julia | B | O |
GERBER | Fanny | B | O |
GIOAN | Estelle | A | N |
HENRY | Tiphaine | Abs | |
JABRI | Taha | Abs | |
JAUME | Sylvain | B | O |
LAHOUSSE | Rémi | Abs | |
MADI | Amine | A | N |
MBA AKIEGMANE | Frédéric | B | O |
OUZZINE | Samy | B | O |
ROQUES | Jérémy | cer. | N |
SOLTYSIAK | Amélie | B | O |
SOULE | Madjid | Abs | |
THOREZ | Louis | B | O |
TIMSAHI | Achraf | B | O |
TOUMLI SBAI | Ayoub | B | O |
VIARD | Bertrand | B | O |
WAHBI | Yacine | B | O |
WILCZYNSKI | Kevin | B | O |